Paléoclimatologue et coprésidente du groupe de travail 1 du GIEC.
[Les villes] doivent s’allier pour apprendre les unes des autres. Ce retour d’expériences évite d’agir au doigt mouillé et permet d’œuvrer à partir de mesures testées, expérimentées. Ce sont généralement des coalitions de villes qui font avancer les connaissances, car elles sont aux avant-postes des changements, avant même les États. Elles doivent aussi prendre conscience de la gravité de la situation, identifier les causes, les conséquences et les leviers d’action possibles. Pour créer une dynamique collective, les villes ont un atout : leur proximité avec les habitants et la volonté qu’ils ont de protéger et préserver leur habitat. »
Source : www.lemonde.fr